UK : Vous avez dit intégration ? Moins de 1% d'Anglais Natifs dans une Ecole

Vous allez rire. Le Daily Mail fait aujourd’hui un article sur une école primaire de Bradford où seulement 4 élèves sur 500 parlent l’Anglais en tant que langue maternelle.  Plus de 90% des élèves sont originaires du Pakistan et bien que beaucoup naissent en Angleterre, ils sont dans des familles qui ne leur apprennent pas l’Anglais. La semaine passée, un article similaire faisait état d’une école de Redhill où les élèves parlaient 44 langues différentes !

D’après un think tank local, Civitas, la barrière de la langue est en train de créer des « divisions dangereuses » dans la société. La majorité des élèves dans de nombreuses écoles ont le Punjabi ou l’Ourdou comme langue maternelle et il est difficile pour les enseignants de communiquer avec eux.

Ce que les autorités ne veulent pas voir, c’est que beaucoup de parents d’origine étrangère empêchent leurs enfants de parler la langue du pays d’accueil et même les punissent quand ils apprennent des mots en Anglais. Leur peur est l’occidentalisation de leurs enfants. Telle qu’ils la perçoivent, celle-ci les influenceraient à devenir athées, homosexuels, drogués ou papa maman à 13 ans. A cette issue, ils préfèrent donc utiliser la barrière linguistique comme un carcan qui gardera l’enfant dans l’influence exclusive de sa culture d’origine. Ils ne sont pas dupes pour autant. Ils savent qu’avec de telles limitations, l’enfant sera au mieux chauffeur de taxi refusant d’embarquer les chiens d’aveugles et ceux qui achètent de l’alcool au free-shop.

Les parents eux-mêmes sont sous l’influence de courants très puissants qui leurs disent qu’Allah ne te demande pas de faire en sorte que ton fils soit ingénieur, médecin ou artiste… mais Il veut que tu en fasses un bon musulman et c’est tout. En fait de « bon musulman » on finit par créer des légumes humaines. Des êtres arriérés, méchants et manipulables à merci par le premier venu. C’est à cette image que sera la prochaine génération. Rien d’étonnant que les politiques encouragent ce changement social profond. 

D’ailleurs, dans cette course, les jeunes Occidentaux ne sont pas en reste. Si le Punjabi ne parle pas un mot, le jeune de souche en parle 300 et s’abreuve d’une culture rétrograde aux antipodes ce qui a fait la grandeur de l’Occident. Encore une fois, tout ça n’est pas un accident, mais le produit d’un système. Le produit d’une politique consciente de la part des élites néo-féodales occidentales à baisser le niveau intellectuel des gens au seuil extrême de la rentabilité fiscale. Les méthodes sont variées mais aboutissent toutes fatalement au même résultat.